FARCEURS, POLISSONS ET PAILLARDS AU MOYEN ÂGE
Arrêt définitif de commercialisation
Nombre de pages : 256
Dimensions : 125 mm x 190 mm
Poids : 200 gr
Prix : 8.90 €
Livre broché
EAN : 9782755801767
Distributeur : GISSEROT
Nombre de pages : 256
Dimensions : 125 mm x 190 mm
Poids : 200 gr
Prix : 8.90 €
Livre broché
EAN : 9782755801767
Distributeur : GISSEROT
Auteur(s) : Jean-Pierre Leguay
Editeur(s) : GISSEROT
Collection : HISTOIRE
Date de parution : 17 décembre 2010
Genre(s) : Histoire
Langue(s) du texte : Français
C’est un moyen âge surprenant, tourné vers une culture populaire, que décrit ici Jean-Pierre Leguay à partir de sources narratives, de farces, de miniatures. L’auteur fait revivre de drôles d’individus farceurs, polissons, paillards, la faune des pavés, des tripots, des étuves, de tous les lieux où le peuple aime se distraire. Le récit, très vivant, rabelaisien même, évoque la grivoiserie des individus, de toute condition, clercs, nobles et bourgeois aisés, des hommes et des femmes, célibataires ou mariés, libérés des repères de la morale chrétienne, de l’éducation familiale et des interdits du temps.
Citadiens et ruraux s’adonnent tantôt à un rire multiforme qui n’est pas dénué de subtilité, tantôt à des plaisanteries d’un goût douteux que restituent, sans vergogne, les poème ou les récits d’écrivains licencieux, les blagues d’étudiants en goguette, les exploits de joyeux drilles, livrés à eux mêmes, un jour de carnaval, une nuit de charivari. Leurs victimes sont de préférences des femmes, épouses ou filles de joie, des clercs lubriques, des “folastres ou lunatiques”, et d’autres qui vengent quelquefois.
Tout est dit, en termes souvent crus, dans un livre où les “subtilités de language” rencontre volontiers des gaudrioles tournées vers le sexe de l’excrément. Les “péchés de langue” les gros mots, les gestes obscènes concernant autant la “maire et principale partie des borjois”, leurs épouses émoustillées, que le “commun peuple”, les clochards, les vauriens. L’excès conduit pourtant à la dénonciation, à la répression, à la condamnation.
Citadiens et ruraux s’adonnent tantôt à un rire multiforme qui n’est pas dénué de subtilité, tantôt à des plaisanteries d’un goût douteux que restituent, sans vergogne, les poème ou les récits d’écrivains licencieux, les blagues d’étudiants en goguette, les exploits de joyeux drilles, livrés à eux mêmes, un jour de carnaval, une nuit de charivari. Leurs victimes sont de préférences des femmes, épouses ou filles de joie, des clercs lubriques, des “folastres ou lunatiques”, et d’autres qui vengent quelquefois.
Tout est dit, en termes souvent crus, dans un livre où les “subtilités de language” rencontre volontiers des gaudrioles tournées vers le sexe de l’excrément. Les “péchés de langue” les gros mots, les gestes obscènes concernant autant la “maire et principale partie des borjois”, leurs épouses émoustillées, que le “commun peuple”, les clochards, les vauriens. L’excès conduit pourtant à la dénonciation, à la répression, à la condamnation.