Chansons de rêve ou pleurs de la gondole délaissée sur les vagues sinueuses des années perdues.
Semeurs d’espoir aux pieds englués, rivés aux flancs de la terre nourricière.
Les années frémiront une à une sous le vent des jours réunis.
Sillons frémissants sous le soleil des espoirs réanimés.
Des poèmes de l’après-soir, quand le regard apaisé s’abaisse sur les choses de la vie, frêles, douces et éloquentes…
Des poèmes pour ma mère ; mémoire vive d’un amour en suspens… jusqu’à l’heure de la Rencontre sublime.