AINSI VA SA VIE

Que dirais-je du lieu physique où le dessin se fait, où la poésie surgit !
Un glissement perpétuel entre les deux, une imbrication charnelle, intime.
Le même outil, à la fois prothèse et bâton de pèlerin, pour aller voir, visualiser,
faire affleurer un battement, entre sédimentations et fulgurances.
Il s’agit de faire en sorte que tout s’incarne,
donne à voir et ressentir la subjectivité d’un homme aux prises avec ses passions.