NE ME LÂCHE PAS LA MAIN - TXHOB TSO KUV TES
Disponible
Nombre de pages : 130
Dimensions : 150 mm x 210 mm
Poids : 180 gr
Prix : 15.00 €
Livre broché
EAN : 9782368684764
Distributeur : STELLAMARIS
Nombre de pages : 130
Dimensions : 150 mm x 210 mm
Poids : 180 gr
Prix : 15.00 €
Livre broché
EAN : 9782368684764
Distributeur : STELLAMARIS
Auteur(s) : Cathou Quivy
Editeur(s) : STELLAMARIS
Date de parution : 28 mai 2018
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Ce livre est l’histoire d’une rencontre, entre des gens, des peuples que rien ne destinait au départ à se rencontrer ; mais la guerre, en jettant un peuple entier loin de ses foyers, l’a forcé à émigrer et à venir chez nous. Les voilà plongés dans une culture dont ils ignorent tous les codes, au contact de gens dont la langue est composée de sons qu’ils n’arrivent même pas à distinguer... et la réciproque est encore plus vraie..., qui mangent des aliments qui, pour eux, ont l’odeur de la merde... Difficile d’imaginer un déracinement plus radical !
Mais, à cette époque, l’expression “France, terre d’asile” avait encore un sens ; malgré toutes les difficultés, ils se sont petit à petit intégrés, et maintenant ils se sentent français... Plus encore, de profondes amitiés se sont nouées, toujours aussi vivaces après quarante ans...
Moi qui ai grandi à cette période, moi pour qui cette expression “France, terre d’asile” a toujours été l’âme de mon identité française, mon cœur n’a fait qu’un tour quand j’ai lu ce magnifique récit, si pleinement humain !
Combien je voudrais qu’elle serve d’enseignement à notre époque, tellement frileuse – et même, disons-le, cruelle et sans pitié – à l’égard des pauvres, des étrangers, des réfugiés et de tous ceux qui sont différents !
Combien je voudrais que tous ceux qui se disent “identitaires” se rendent compte qu’en refusant l’accueil de l’autre, en fait ils renient l’identité profonde de la France, qui a toujours été une terre d’accueil !
Combien je voudrais enfin que le gouvernement, qui laisse errer les réfugiés dans les bois en faisant lacérer leurs tentes et sacs de couchage, en plein hiver, par sa police, qui fait voter une loi scélérate qui ne respecte pas leur droit à un recours effectif quand l’asile leur est refusé, qui permet même d’enfermer des enfants dont le seul crime est d’être étrangers, se rende compte qu’en agissant ici il bafoue l’honneur de notre pays !
Stellamaris
Mais, à cette époque, l’expression “France, terre d’asile” avait encore un sens ; malgré toutes les difficultés, ils se sont petit à petit intégrés, et maintenant ils se sentent français... Plus encore, de profondes amitiés se sont nouées, toujours aussi vivaces après quarante ans...
Moi qui ai grandi à cette période, moi pour qui cette expression “France, terre d’asile” a toujours été l’âme de mon identité française, mon cœur n’a fait qu’un tour quand j’ai lu ce magnifique récit, si pleinement humain !
Combien je voudrais qu’elle serve d’enseignement à notre époque, tellement frileuse – et même, disons-le, cruelle et sans pitié – à l’égard des pauvres, des étrangers, des réfugiés et de tous ceux qui sont différents !
Combien je voudrais que tous ceux qui se disent “identitaires” se rendent compte qu’en refusant l’accueil de l’autre, en fait ils renient l’identité profonde de la France, qui a toujours été une terre d’accueil !
Combien je voudrais enfin que le gouvernement, qui laisse errer les réfugiés dans les bois en faisant lacérer leurs tentes et sacs de couchage, en plein hiver, par sa police, qui fait voter une loi scélérate qui ne respecte pas leur droit à un recours effectif quand l’asile leur est refusé, qui permet même d’enfermer des enfants dont le seul crime est d’être étrangers, se rende compte qu’en agissant ici il bafoue l’honneur de notre pays !
Stellamaris
