L'ESPRIT D'HOEDIC
Disponible
Dimensions : 110 mm x 180 mm
Poids : 200 gr
Prix : 9.50 €
Poche
EAN : 9782355501791
Distributeur : SOLEILS
Dimensions : 110 mm x 180 mm
Poids : 200 gr
Prix : 9.50 €
Poche
EAN : 9782355501791
Distributeur : SOLEILS
Auteur(s) : DEVALLIERE REMI
Editeur(s) : BARGAIN
Collection : ENQUETES ET SUS
Date de parution : 24 avril 2015
Genre(s) : Littérature générale
Rien ne destinait Anconi, un commissaire parisien, à découvrir Hoëdic. Nous sommes en 1976 et il reçoit un appel téléphonique étrange de son ancien directeur, en retraite dans cette île isolée du Morbihan. Quelques jours plus tard, il en apprend le décès par noyade. Suicide ? Accident ? Meurtre ? Il décide de s’y rendre avec son fidèle inspecteur Lefebvre. Des disparitions déconcertantes, une enquête difficile l’attendent dans un monde insulaire un peu rude. Ce policier humaniste à l’accent marseillais, parfois un peu effronté, saura-t-il comprendre l’esprit d’Hoëdic et dénouer les fils de l’histoire ?
Après plusieurs décennies passées, comme médecin hospitalier, à soigner les maux les plus graves, Rémi Devalliere, désormais en retraite à Pornichet, se plaît à choisir les mots les plus appropriés pour ses histoires. L’hiver, ou lorsque la mer n’est pas navigable, il écrit, avec passion. Nouer des intrigues n’est-il pas le pendant d’une démarche médicale bien conduite ? Si les instruments de l’exercice en sont bien différents, le plaisir de parvenir à un résultat satisfaisant est bien le même. Et les aveux du coupable ne relèvent-ils pas du même défi qu’un diagnostic bien posé ?
Après plusieurs décennies passées, comme médecin hospitalier, à soigner les maux les plus graves, Rémi Devalliere, désormais en retraite à Pornichet, se plaît à choisir les mots les plus appropriés pour ses histoires. L’hiver, ou lorsque la mer n’est pas navigable, il écrit, avec passion. Nouer des intrigues n’est-il pas le pendant d’une démarche médicale bien conduite ? Si les instruments de l’exercice en sont bien différents, le plaisir de parvenir à un résultat satisfaisant est bien le même. Et les aveux du coupable ne relèvent-ils pas du même défi qu’un diagnostic bien posé ?