'PARI' AU MOIS D'AOUT
Disponible
Dimensions : 110 mm x 180 mm
Poids : 300 gr
Prix : 11.00 €
Poche
EAN : 9782355502194
Distributeur : SOLEILS
Dimensions : 110 mm x 180 mm
Poids : 300 gr
Prix : 11.00 €
Poche
EAN : 9782355502194
Distributeur : SOLEILS
Auteur(s) : DEVALLIERE REMI
Editeur(s) : BARGAIN
Collection : ENQUETES ET SUS
Date de parution : 6 février 2017
Genre(s) : Littérature générale
Une jeune infirmière franco-algérienne vient d’être assassinée dans le métro aérien, ligne 6. C’est l’été 1995, celui des attentats du RER Saint-Michel, et la piste terroriste est immédiatement privilégiée par le directeur de la section chargée de ces affaires, un certain Bouligues dit “Bouledogue”. Un témoin anonyme prétendant voir le meurtre se produire appelle le commissariat du 13e, mais 30 minutes après les faits ! Anconi, commissaire au Quai des Orfèvres, persuadé que le GIA algérien n’est pour rien dans ce crime, s’entête à découvrir ce témoin tardif. Son enquête démarre boulevard Blanqui, le conduit à Barbès, à Bry-sur-Marne et dans une cité sensible de Poissy. Sur fond de rivalité entre Crim’ et Antiterro’, Anconi tient bon. Alors ? Crime crapuleux ou terroriste ?
Médecin hospitalier, Rémi Devalliere a soigné les maux les plus graves ; désormais en retraite à Pornichet, il écrit, avec passion, se plaisant à choisir les mots les plus appropriés pour ses histoires. Nouer des intrigues n’est-il pas le pendant d’une démarche médicale bien conduite ? Si les instruments de l’exercice en sont bien différents, le plaisir de parvenir à un résultat satisfaisant est bien le même. Et les aveux du coupable ne relèvent-ils pas du même défi qu’un diagnostic bien posé ?
Médecin hospitalier, Rémi Devalliere a soigné les maux les plus graves ; désormais en retraite à Pornichet, il écrit, avec passion, se plaisant à choisir les mots les plus appropriés pour ses histoires. Nouer des intrigues n’est-il pas le pendant d’une démarche médicale bien conduite ? Si les instruments de l’exercice en sont bien différents, le plaisir de parvenir à un résultat satisfaisant est bien le même. Et les aveux du coupable ne relèvent-ils pas du même défi qu’un diagnostic bien posé ?