COURT METRAGE FRANCAIS DE 1945 A 1968
Disponible
Dimensions : 169 mm x 209 mm
Poids : 679 gr
Prix : 22.00 €
Livre broché
EAN : 9782753500617
Distributeur : SODIS
Dimensions : 169 mm x 209 mm
Poids : 679 gr
Prix : 22.00 €
Livre broché
EAN : 9782753500617
Distributeur : SODIS
Auteur(s) : PUR
Editeur(s) : PU RENNES
Collection : Le spectaculaire
Date de parution : 3 mars 2005
Genre(s) : Arts et beaux livres
Langue(s) du texte : Français
L'âge d'or : Georges Franju, Alain Resnais, Pierre Kast, Jean Mitry, Chris Marker.
Agnès Varda, et un sens du collectif dont témoignent, dans les années 50, le groupe des Trente pour la défense du court métrage français ou les critiques de cinéma faisant leurs gammes dans le court métrage avant de lancer la Nouvelle Vague. Les contrebandiers : Luc Moullet, Jean-Daniel Pollet, Jean Eustache ou le producteur Barbet Schroeder qui, dans le contexte moins favorable des années 60, créent une oeuvre personnelle en se jouant de la notion de commande et revendiquent les vertus de l'amateurisme.
Ce volume n'entend pas seulement rendre hommage aux rouvres courtes passées à la postérité. Il rappelle le contexte législatif et économique d'une production de films qui ne lurent pas conçus pour être vus isolément, mais en "complément de programme" d'un long métrage. Il signale le rôle des producteurs aventureux. Il s'attache aux entrelacements de la fiction et du documentaire à une époque où court métrage était le plus souvent synonyme de documentaire.
Il retrace la généalogie du film d'art ou du court métrage expérimental. Autour des grands noms consacrés, c'est tout un vivier de films qui reste aujourd'hui à redécouvrir.
Agnès Varda, et un sens du collectif dont témoignent, dans les années 50, le groupe des Trente pour la défense du court métrage français ou les critiques de cinéma faisant leurs gammes dans le court métrage avant de lancer la Nouvelle Vague. Les contrebandiers : Luc Moullet, Jean-Daniel Pollet, Jean Eustache ou le producteur Barbet Schroeder qui, dans le contexte moins favorable des années 60, créent une oeuvre personnelle en se jouant de la notion de commande et revendiquent les vertus de l'amateurisme.
Ce volume n'entend pas seulement rendre hommage aux rouvres courtes passées à la postérité. Il rappelle le contexte législatif et économique d'une production de films qui ne lurent pas conçus pour être vus isolément, mais en "complément de programme" d'un long métrage. Il signale le rôle des producteurs aventureux. Il s'attache aux entrelacements de la fiction et du documentaire à une époque où court métrage était le plus souvent synonyme de documentaire.
Il retrace la généalogie du film d'art ou du court métrage expérimental. Autour des grands noms consacrés, c'est tout un vivier de films qui reste aujourd'hui à redécouvrir.