LA VÉRITABLE HISTOIRE DE LA MIENNE
Disponible
Nombre de pages : 272
Dimensions : 135 mm x 170 mm
Poids : 200 gr
Prix : 20.00 €
Livre broché
EAN : 9791090424005
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 272
Dimensions : 135 mm x 170 mm
Poids : 200 gr
Prix : 20.00 €
Livre broché
EAN : 9791090424005
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : Philippe Guyral
Editeur(s) : LUNATIQUE
Date de parution : 15 juillet 2011
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
La Véritable Histoire de la mienne raconte les tribulations de Didier : les
potes, les meufs, la glande et les teufs, sans oublier l’inénarrable famille.
Avec ses formules qui font mouche et ses réflexions qui nous touchent,
Didier nous entraîne dans une série d’aventures toutes plus hilarantes les
unes que les autres, et nous balade de belle façon entre rire et émotion.
« Il est où le tire-bouchon ?
— Tu l’as dans la main, p’pa.
— Oui, peut-être… Mais sois précis, mon fils. À quel endroit dans la main ? »
« Qu’est-ce que c’est que ça ? Une sorte de grosse bête de la forêt ? Qu’est-ce
qu’elle guette ? Elle bouge pas ? Elle est morte, ou elle m’attend ? Ah non.
C’est une broussaille
qui voulait me faire peur.
Coquine ! C’est bien, la marche en forêt. Mais c’est comme la marche
normale. Ça fatigue aussi. »
« Je suis venu passer le week-end.
— Pas plus longtemps. Ta mère et moi on est vieux, on va bientôt mourir, on
voudrait être au calme cette semaine. »
potes, les meufs, la glande et les teufs, sans oublier l’inénarrable famille.
Avec ses formules qui font mouche et ses réflexions qui nous touchent,
Didier nous entraîne dans une série d’aventures toutes plus hilarantes les
unes que les autres, et nous balade de belle façon entre rire et émotion.
« Il est où le tire-bouchon ?
— Tu l’as dans la main, p’pa.
— Oui, peut-être… Mais sois précis, mon fils. À quel endroit dans la main ? »
« Qu’est-ce que c’est que ça ? Une sorte de grosse bête de la forêt ? Qu’est-ce
qu’elle guette ? Elle bouge pas ? Elle est morte, ou elle m’attend ? Ah non.
C’est une broussaille
qui voulait me faire peur.
Coquine ! C’est bien, la marche en forêt. Mais c’est comme la marche
normale. Ça fatigue aussi. »
« Je suis venu passer le week-end.
— Pas plus longtemps. Ta mère et moi on est vieux, on va bientôt mourir, on
voudrait être au calme cette semaine. »