DANSE AVEC JÉSUS
Disponible
Nombre de pages : 364
Dimensions : 135 mm x 170 mm
Poids : 300 gr
Prix : 24.00 €
Livre broché
EAN : 9791090424128
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 364
Dimensions : 135 mm x 170 mm
Poids : 300 gr
Prix : 24.00 €
Livre broché
EAN : 9791090424128
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : Jérémie Lefebvre
Editeur(s) : LUNATIQUE
Date de parution : 15 juillet 2011
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Deuxième roman de Jérémie Lefebvre, qui avait fait sensation il y a dix
ans avec La Société de consolation, Danse avec Jésus marie conjugaison au
subjonctif et humour aigre-doux pour nous conter l’histoire d’une famille
sur trois générations, Jean le grand-père, Christian le fils, Marie la petitefille,
et leurs comparses, amis, voisins ou collègues qui tous s’interrogent
sur leur sentiment religieux.
Jérémie Lefebvre scrute consciencieusement leurs états d’âme et dresse
un inventaire foisonnant du christianisme d’aujourd’hui.
1. Jésus ne voyait pas en quoi on n’était pas digne de le recevoir, il trouvait
qu’on en était tout à fait digne et que son intervention était inutile.
2. Jésus estimait qu’en effet on n’était pas digne de le recevoir, mais qu’une
parole de lui ne réglerait pas le problème.
3. Jésus était d’accord sur le fait qu’on n’était pas digne de le recevoir et aussi
sur le fait qu’une parole de lui pouvait régler le problème mais, pour une
raison mystérieuse, il ne souhaitait pas le régler.
4. Jésus était d’accord pour régler le problème et disait une parole pour qu’on
fût guéri. Pour une raison mystérieuse, on n’entendait pas cette parole, mais
elle était prononcée, et on devenait digne de le recevoir.
5. Jésus n’entendait pas ce qu’on lui demandait parce qu’il n’existait pas.
6. Jésus n’entendait pas ce qu’on lui demandait, pour une raison mystérieuse,
mais il existait.
ans avec La Société de consolation, Danse avec Jésus marie conjugaison au
subjonctif et humour aigre-doux pour nous conter l’histoire d’une famille
sur trois générations, Jean le grand-père, Christian le fils, Marie la petitefille,
et leurs comparses, amis, voisins ou collègues qui tous s’interrogent
sur leur sentiment religieux.
Jérémie Lefebvre scrute consciencieusement leurs états d’âme et dresse
un inventaire foisonnant du christianisme d’aujourd’hui.
1. Jésus ne voyait pas en quoi on n’était pas digne de le recevoir, il trouvait
qu’on en était tout à fait digne et que son intervention était inutile.
2. Jésus estimait qu’en effet on n’était pas digne de le recevoir, mais qu’une
parole de lui ne réglerait pas le problème.
3. Jésus était d’accord sur le fait qu’on n’était pas digne de le recevoir et aussi
sur le fait qu’une parole de lui pouvait régler le problème mais, pour une
raison mystérieuse, il ne souhaitait pas le régler.
4. Jésus était d’accord pour régler le problème et disait une parole pour qu’on
fût guéri. Pour une raison mystérieuse, on n’entendait pas cette parole, mais
elle était prononcée, et on devenait digne de le recevoir.
5. Jésus n’entendait pas ce qu’on lui demandait parce qu’il n’existait pas.
6. Jésus n’entendait pas ce qu’on lui demandait, pour une raison mystérieuse,
mais il existait.