LE TEMPS POUR LAURE
Disponible
Nombre de pages : 64
Dimensions : 115 mm x 175 mm
Poids : 50 gr
Prix : 12.00 €
Livre broché
EAN : 9791097356033
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 64
Dimensions : 115 mm x 175 mm
Poids : 50 gr
Prix : 12.00 €
Livre broché
EAN : 9791097356033
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : Jean-Claude Leroy
Editeur(s) : LUNATIQUE
Date de parution : 1 janvier 2017
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Dans « Cairo la victorieuse », capitale égyptienne tiraillée entre hédonisme
sommaire et discipline religieuse, la narrateur part à la recherche de
Laure, jeune femme qu’il a aimée ici d’une passion dévorante.
Les tourments de l’attente, de l’impuissance, se chargent de désirs, de
visions. Les corps écartés se lavent d’amour, d’inconscience.
Au cours d’errances fébriles se nouent le souvenir et la prégnance de ces
instants où la vie et le rêve s’entremêlent, se nourrissant l’un de l’autre
pour ouvrir les portes d’un nouvel espace, intime, inquiétant, dans lequel
l’être humain retrouve l’état initial d’incertitude et de songe.
Dans la nuit citadine, des enfants des rues accompagnent et guident les
amants perdus. La maison féerique et désertée d’un fonctionnaire de
la culture devient le nid d’une renaissance. Et, dans la figure du peintre
Heykal à qui le modèle disparu retournera son art sous forme de portrait
absolu, surgit peut-être en filigrane l’image du narrateur et de sa quête...
sommaire et discipline religieuse, la narrateur part à la recherche de
Laure, jeune femme qu’il a aimée ici d’une passion dévorante.
Les tourments de l’attente, de l’impuissance, se chargent de désirs, de
visions. Les corps écartés se lavent d’amour, d’inconscience.
Au cours d’errances fébriles se nouent le souvenir et la prégnance de ces
instants où la vie et le rêve s’entremêlent, se nourrissant l’un de l’autre
pour ouvrir les portes d’un nouvel espace, intime, inquiétant, dans lequel
l’être humain retrouve l’état initial d’incertitude et de songe.
Dans la nuit citadine, des enfants des rues accompagnent et guident les
amants perdus. La maison féerique et désertée d’un fonctionnaire de
la culture devient le nid d’une renaissance. Et, dans la figure du peintre
Heykal à qui le modèle disparu retournera son art sous forme de portrait
absolu, surgit peut-être en filigrane l’image du narrateur et de sa quête...