RETRAIT/VOYAGE AUTOUR DE MON ATELIER
Disponible
Nombre de pages : 62
Dimensions : 115 mm x 175 mm
Poids : 65 gr
Prix : 13.00 €
Livre broché
EAN : 9791097356040
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 62
Dimensions : 115 mm x 175 mm
Poids : 65 gr
Prix : 13.00 €
Livre broché
EAN : 9791097356040
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : Jean-Claude Leroy
Editeur(s) : LUNATIQUE
Date de parution : 1 janvier 2017
Genre(s) : Littérature générale (3435)
Langue(s) du texte : Français
S’enfermer pour observer le décor qu’on a choisi. S’enfuir pour tenter de
se tenir en soi, dans son entier. L’espace est intérieur, d’où qu’on sorte.
Voyage autour de mon atelier d’Éric Pénard dessine un journal de bord.
La « coque de noix » s’appelle l’« atelier », où l’artiste pose son réel, ses
fantaisies. Il suffit d’engager la traversée, de s’attacher aux détails, aux
visages qui surgissent des objets, à l’espace que découpe l’oeil, et le monde
s’ouvre.
Dans Retrait, Jean-Claude Leroy rapporte l’Inde rêvée, ici décrite
à toute allure, comme un échec, et qui ne peut rien pour lui. Un exil
impossible, vécu dans un lointain qu’il n’a pas suffi d’aborder, qui reste
hors de portée. La parenthèse doit se refermer.
Par un secret agencement, qui ne révèle qu’après coup sa raison, deux
rendez-vous intimes, étrangers l’un à l’autre, sont ici articulés. Comme
si le jeu était de divertir la géographie, la distance – non pas la lecture –,
dans une mise en regard inattendue, inaperçue.
se tenir en soi, dans son entier. L’espace est intérieur, d’où qu’on sorte.
Voyage autour de mon atelier d’Éric Pénard dessine un journal de bord.
La « coque de noix » s’appelle l’« atelier », où l’artiste pose son réel, ses
fantaisies. Il suffit d’engager la traversée, de s’attacher aux détails, aux
visages qui surgissent des objets, à l’espace que découpe l’oeil, et le monde
s’ouvre.
Dans Retrait, Jean-Claude Leroy rapporte l’Inde rêvée, ici décrite
à toute allure, comme un échec, et qui ne peut rien pour lui. Un exil
impossible, vécu dans un lointain qu’il n’a pas suffi d’aborder, qui reste
hors de portée. La parenthèse doit se refermer.
Par un secret agencement, qui ne révèle qu’après coup sa raison, deux
rendez-vous intimes, étrangers l’un à l’autre, sont ici articulés. Comme
si le jeu était de divertir la géographie, la distance – non pas la lecture –,
dans une mise en regard inattendue, inaperçue.