GRELOTS D'OUTRE-TEMPS, 3ÈME ÉPOQUE
Disponible
Nombre de pages : 128
Dimensions : 150 mm x 210 mm
Poids : 182 gr
Prix : 14.00 €
Livre broché
EAN : 9782368681015
Distributeur : STELLAMARIS
Nombre de pages : 128
Dimensions : 150 mm x 210 mm
Poids : 182 gr
Prix : 14.00 €
Livre broché
EAN : 9782368681015
Distributeur : STELLAMARIS
Auteur(s) : Sébastien Broucke
Editeur(s) : STELLAMARIS
Date de parution : 17 mai 2013
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Voici enfin venue la troisième saison des Grelots d’Outre-Temps. Si les deux premiers volets de cette œuvre nous avaient permis de faire la connaissance d’un nouveau poète, ce troisième opus nous offre de mieux découvrir une nouvelle poésie. Chacun des textes de cet humble recueil peut certainement s’écrire en un jour, se lire en une minute, mais aucun d’entre eux n’osera se glorifier d’avoir germé en aussi peu de temps. Qui sait en effet le nombre de trimestres et d’années, de siècles peut-être, qu’il aura fallu à son auteur pour que puisse jaillir en quelques mots soupesés et choisis autant de vie et de joie, de beauté et d’amour, que de deuil invincible ? Chez Sébastien Broucke, la nature revêt de si beaux atours que même la mort en devient belle.
Le lecteur qui visitera ce monde renouvelé n’en repartira pas plus grand, il en ressortira simplement ragaillardi, enchanté, voire heureux…
Notre temps n’est qu’un jour que caressent nos bottes,
Allons notre chemin avant qu’on nous les ôte !
Il n’aura pas vécu qui ne vit qu’à demi,
En nous-mêmes toujours sommeille un ennemi.
Hommes ! Relevons-nous, en haut notre oriflamme !
À n’être que fumée, qu’au moins plane notre âme…
Le lecteur qui visitera ce monde renouvelé n’en repartira pas plus grand, il en ressortira simplement ragaillardi, enchanté, voire heureux…
Notre temps n’est qu’un jour que caressent nos bottes,
Allons notre chemin avant qu’on nous les ôte !
Il n’aura pas vécu qui ne vit qu’à demi,
En nous-mêmes toujours sommeille un ennemi.
Hommes ! Relevons-nous, en haut notre oriflamme !
À n’être que fumée, qu’au moins plane notre âme…