MON ENNEMI, C'EST LA FINANCE, UNE CAMPAGNE POUR FRIPONNES RPG
Disponible
Nombre de pages : 200
Dimensions : 210 mm x 210 mm
Poids : 360 gr
Prix : 33.00 €
Livre broché
EAN : 9782368683965
Distributeur : STELLAMARIS
Nombre de pages : 200
Dimensions : 210 mm x 210 mm
Poids : 360 gr
Prix : 33.00 €
Livre broché
EAN : 9782368683965
Distributeur : STELLAMARIS
Auteur(s) : Stellamaris, E. Bar
Editeur(s) : STELLAMARIS
Date de parution : 13 mai 2019
Genre(s) : Jeux et jouets
Langue(s) du texte : Français
Mon ennemi, c’est la finance est une grande campagne pour le jeu de rôle Friponnes rpg. Elle comporte dix scénarios complets, chacun jouable en deux à quatre séances, sans compter les voyages qui rythment les passages d’une île à une autre. Elle peut donc vous occuper longtemps ! Néanmoins, à une exception près, chacun de ces scénarios peut aussi être joué isolément pour ceux qui n’ont pas le temps ou la possibilité de se lancer dans une campagne au long cours. Elle contient la description de plus de cent PNJ et de maints lieux pouvant être mis en scène dans vos propres créations.
Elle a pour ambition de vous faire voyager dans presque toutes les Folandes (Libreterre, Borêne, Mina-Roka, Rahajida, Entreville — plusieurs fois —, Lanareta, Xejogue, les Milîles et Verrou), telles qu’elles sont décrites dans les romans d’Etienne Bar. Vos friponnes se mesureront aux terribles Steffy et Julie d’Armale, à des démons, des Sangrelins, des barbares cannibales, des assassins, des pirates, des banquiers et leurs sbires, des sorciers et naturellement des Verougues — Une campagne de Friponnes rpg sans Verougues manquerait de sel ! —. Elles seront confrontées à des administrations tatillonnes, des flics incorruptibles (et d’autres plus souples), des servants de l’Unique plus ou moins bornés, des elfes libertins et d’autres empêcheurs de friponner tranquillement. Ce faisant, les friponnes auront à affronter diverses injustices et situations dangereuses et ne tarderont pas à se rendre compte que, le plus souvent, elles sont dues à une même cause : une cupidité sans limites, si opposée aux valeurs libreterrannes.
D’où son titre : Mon ennemi, c’est la finance. Cependant, n’allez pas y voir un manifeste politique ! Friponnes rpg reste un jeu, qui n’a pas d’autre objectif que de vous permettre de passer de bons moments entre amis ! Tout le plaisir sera de vivre et de défendre une utopie positive, où la paix, la douceur de vivre… et la joie de s’aimer finissent toujours par l’emporter. Pour cela, il faudra botter quelques culs de vilains qui veulent contrarier ces plaisirs simples et qui ont parfois des points communs avec des personnes de notre monde dont les postérieurs sont malheureusement hors de portée de nos bottes.
Elle a pour ambition de vous faire voyager dans presque toutes les Folandes (Libreterre, Borêne, Mina-Roka, Rahajida, Entreville — plusieurs fois —, Lanareta, Xejogue, les Milîles et Verrou), telles qu’elles sont décrites dans les romans d’Etienne Bar. Vos friponnes se mesureront aux terribles Steffy et Julie d’Armale, à des démons, des Sangrelins, des barbares cannibales, des assassins, des pirates, des banquiers et leurs sbires, des sorciers et naturellement des Verougues — Une campagne de Friponnes rpg sans Verougues manquerait de sel ! —. Elles seront confrontées à des administrations tatillonnes, des flics incorruptibles (et d’autres plus souples), des servants de l’Unique plus ou moins bornés, des elfes libertins et d’autres empêcheurs de friponner tranquillement. Ce faisant, les friponnes auront à affronter diverses injustices et situations dangereuses et ne tarderont pas à se rendre compte que, le plus souvent, elles sont dues à une même cause : une cupidité sans limites, si opposée aux valeurs libreterrannes.
D’où son titre : Mon ennemi, c’est la finance. Cependant, n’allez pas y voir un manifeste politique ! Friponnes rpg reste un jeu, qui n’a pas d’autre objectif que de vous permettre de passer de bons moments entre amis ! Tout le plaisir sera de vivre et de défendre une utopie positive, où la paix, la douceur de vivre… et la joie de s’aimer finissent toujours par l’emporter. Pour cela, il faudra botter quelques culs de vilains qui veulent contrarier ces plaisirs simples et qui ont parfois des points communs avec des personnes de notre monde dont les postérieurs sont malheureusement hors de portée de nos bottes.