AU FIL DU CANAL - NOUVELLES DE MALESTROIT
Disponible
Nombre de pages : 136
Dimensions : 148 mm x 210 mm
Poids : 186 gr
Prix : 14.00 €
Livre broché
EAN : 9791090887541
Distributeur : STEPHANE BATIGNE
Nombre de pages : 136
Dimensions : 148 mm x 210 mm
Poids : 186 gr
Prix : 14.00 €
Livre broché
EAN : 9791090887541
Distributeur : STEPHANE BATIGNE
Auteur(s) : Collectif
Editeur(s) : BATIGNE
Date de parution : 13 mai 2017
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Le canal de Nantes à Brest, qui emprunte en partie le cours de l’Oust, traverse Malestroit depuis la première moitié du XIXe siècle. Ponctuée d’écluses et longée par son chemin de halage, cette voie d’eau est aujourd’hui indissociable du paysage malestroyen.
Ce recueil réunit dix-sept nouvelles inspirées par une photo du canal en automne. Certains auteurs ont ancré leur histoire dans les lieux mêmes représentés par la photo, tandis que d’autres ont laissé libre cours à leur imagination. Mais dans tous les cas, le fil de l’eau est bien présent, avec le chemin, les arbres et l’écluse qui se devine au loin, en face des bâtiments en pierre.
Mystères, accidents, errements, souvenirs profondément enfouis, meurtres, secrets inavoués et destins singuliers se succèdent dans ces textes variés, souvent baignés d’une atmosphère nostalgique ou d’une amertume tenace. À travers eux, c’est le portrait d’un paysage, mi-réel mi-imaginaire, qui est dessiné, par petites touches.
Ce recueil réunit dix-sept nouvelles inspirées par une photo du canal en automne. Certains auteurs ont ancré leur histoire dans les lieux mêmes représentés par la photo, tandis que d’autres ont laissé libre cours à leur imagination. Mais dans tous les cas, le fil de l’eau est bien présent, avec le chemin, les arbres et l’écluse qui se devine au loin, en face des bâtiments en pierre.
Mystères, accidents, errements, souvenirs profondément enfouis, meurtres, secrets inavoués et destins singuliers se succèdent dans ces textes variés, souvent baignés d’une atmosphère nostalgique ou d’une amertume tenace. À travers eux, c’est le portrait d’un paysage, mi-réel mi-imaginaire, qui est dessiné, par petites touches.