DES COULÉES ET DES BLOCS
Disponible
Nombre de pages : 192
Dimensions : 21 mm x 297 mm
Poids : 879 gr
Prix : 35.00 €
Livre broché
EAN : 9782491253165
Distributeur : L ESPEROU
Nombre de pages : 192
Dimensions : 21 mm x 297 mm
Poids : 879 gr
Prix : 35.00 €
Livre broché
EAN : 9782491253165
Distributeur : L ESPEROU
Auteur(s) : Charles PENNEQUIN
Editeur(s) : ESPEROU
Date de parution : 1 février 2024
Genre(s) : Arts et beaux livres (3667)
Langue(s) du texte : Français
En 2021, Cédric Torne envoie beaucoup de dessins à Charles Pennequin, qui lui répond en écrivant beaucoup de textes, dont le meilleur semble définitivement perdu…
L’ensemble de cet échange est rassemblé dans un double ouvrage Des blocs et des coulées, pensé comme une promenade sans fin qui débute par une série de quarante-cinq dessins allant de la ville à la campagne. A l’orée du bois, s’interrompt le dessin pour rencontrer alors une trentaine de textes de Charles Pennequin. Ils se terminent par ces mots « le petit oiseau est sorti ». Recommence alors une nouvelle série de quarante-cinq dessins, le lecteur reprend sa promenade dans le visible là où il s’était arrêté pour entendre les voix de Charles. Le lecteur reprend le chemin pour retourner progressivement à la ville.
L’ouvrage est pensé comme une possible boucle sans fin, parcourant des espaces du commun à ceux de la solitude pour « tomber nez à nez » sur ces textes, en blocs ou en coulées. Ils sont autant de souffles, de voix, collées à des corps, qui habitent en fantômes les précédents et futurs dessins éprouvés.
L’ensemble de cet échange est rassemblé dans un double ouvrage Des blocs et des coulées, pensé comme une promenade sans fin qui débute par une série de quarante-cinq dessins allant de la ville à la campagne. A l’orée du bois, s’interrompt le dessin pour rencontrer alors une trentaine de textes de Charles Pennequin. Ils se terminent par ces mots « le petit oiseau est sorti ». Recommence alors une nouvelle série de quarante-cinq dessins, le lecteur reprend sa promenade dans le visible là où il s’était arrêté pour entendre les voix de Charles. Le lecteur reprend le chemin pour retourner progressivement à la ville.
L’ouvrage est pensé comme une possible boucle sans fin, parcourant des espaces du commun à ceux de la solitude pour « tomber nez à nez » sur ces textes, en blocs ou en coulées. Ils sont autant de souffles, de voix, collées à des corps, qui habitent en fantômes les précédents et futurs dessins éprouvés.