A HISTORY OF THE EAST END
Disponible
Nombre de pages : 152
Dimensions : 180 mm x 295 mm
Poids : 686 gr
Prix : 35.00 €
Livre broché
EAN : 9782957207244
Distributeur : LES PRESSES DU REEL
Nombre de pages : 152
Dimensions : 180 mm x 295 mm
Poids : 686 gr
Prix : 35.00 €
Livre broché
EAN : 9782957207244
Distributeur : LES PRESSES DU REEL
Auteur(s) :
Editeur(s) : NOUVEAU PALAIS
Date de parution : 23 juillet 2024
Genre(s) : Arts et beaux livres
Autodidacte, Chris Dorley Brown a formé son éducation culturelle dans le quartier de Stratford à la fin des années 1970, dans un contexte de conflits et de changements politiques fortement polarisés.
Les photographies présentées dans ce livre – plus de 100 – ont été prises entre 1984 et 2023. La traversée du livre se fait comme une déambulation : en partant du bord de la Tamise, on découvre l'architecture vernaculaire des années 1980, la destruction de ces mêmes immeubles quelques années plus tard, puis des architectures plus récentes. On suit les transformations occasionnées par les travaux pour les Jeux Olympiques, puis les rues désertées lors du confinement pour se retrouver au bord de la Tamise, presque à son embouchure. Des accidents ici et là s'intercalent entre ces principaux thèmes.
Des textes et des tracts sont glissés dans le livre. L'auteur y raconte son parcours avec un certaine aisance, qui rappelle, à nous ses éditeurs, ses talents oratoires, dans une construction particulièrement visuelle où l'anecdote côtoie les pensées les plus profondes.
Cette œuvre photographique prend toute l'ampleur qu'elle mérite dans le livre, elle déroule une histoire du East End, mais c'est aussi et surtout un témoignage du capitalisme tardif, de sa capacité à toujours prendre de nouvelles formes pour mieux se diffuser.
Les photographies présentées dans ce livre – plus de 100 – ont été prises entre 1984 et 2023. La traversée du livre se fait comme une déambulation : en partant du bord de la Tamise, on découvre l'architecture vernaculaire des années 1980, la destruction de ces mêmes immeubles quelques années plus tard, puis des architectures plus récentes. On suit les transformations occasionnées par les travaux pour les Jeux Olympiques, puis les rues désertées lors du confinement pour se retrouver au bord de la Tamise, presque à son embouchure. Des accidents ici et là s'intercalent entre ces principaux thèmes.
Des textes et des tracts sont glissés dans le livre. L'auteur y raconte son parcours avec un certaine aisance, qui rappelle, à nous ses éditeurs, ses talents oratoires, dans une construction particulièrement visuelle où l'anecdote côtoie les pensées les plus profondes.
Cette œuvre photographique prend toute l'ampleur qu'elle mérite dans le livre, elle déroule une histoire du East End, mais c'est aussi et surtout un témoignage du capitalisme tardif, de sa capacité à toujours prendre de nouvelles formes pour mieux se diffuser.