POÈMES POUR UN SOURIRE CÉLESTE
Disponible
Nombre de pages : 212
Dimensions : 195 mm x 210 mm
Poids : 369 gr
Prix : 31.00 €
Livre broché
EAN : 9782368686478
Distributeur : STELLAMARIS
Nombre de pages : 212
Dimensions : 195 mm x 210 mm
Poids : 369 gr
Prix : 31.00 €
Livre broché
EAN : 9782368686478
Distributeur : STELLAMARIS
Auteur(s) : Amalia Achard
Editeur(s) : STELLAMARIS
Date de parution : 27 mai 2020
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Anthologie de poèmes roumains
____
Tu m’étais l’espoir, tu m’étais vanité,
laideur effroyable, beauté optimale,
ô, toi, ma réelle chimère démesurée,
mon cauchemar sauvage, horreur géniale !
Dragoş Niculescu
L’amour réel ne meurt sous la torture
– Un feu éternel qui brûle sans débris –
Je t’aimerai aussi dans une vie future
Pour le compte du solde restant de celle-ci.
Nicu Gavrilovici
Tu t’étonnais toujours :
Entends-tu les os du temps se cacher dans les feuilles ?
J’entendais juste le mutisme des pierres tourbillonner.
Entends-tu pousser un ange de mon épaule gauche ?
J’entendais juste les cendres des roses se dissipant sur la fenêtre.
Alice Puiu
Tombés – les issues vers le ciel fermées
(quand le blanc final du jour s’écroule en nous
et que la lumière est une vieille ruine où, nus,
nous ignorons ce qu’est le danger de rêver
Dan Vîţă
Les femmes et les paroles
sont belles quand elles dorment,
quand elle se réveillent
elles sont impitoyablement vivantes…
Dorin Croitor
C’est un odeur de Dieu dans mon petit village,
Le sourire des vieux timides l’accompagne,
Eux, qui connurent autant d’épreuves au fil de l’âge,
Eux, qui savent que Dieu est né à la campagne.
Iustinian-George Paiuc
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Tu m’étais l’espoir, tu m’étais vanité,
laideur effroyable, beauté optimale,
ô, toi, ma réelle chimère démesurée,
mon cauchemar sauvage, horreur géniale !
Dragoş Niculescu
L’amour réel ne meurt sous la torture
– Un feu éternel qui brûle sans débris –
Je t’aimerai aussi dans une vie future
Pour le compte du solde restant de celle-ci.
Nicu Gavrilovici
Tu t’étonnais toujours :
Entends-tu les os du temps se cacher dans les feuilles ?
J’entendais juste le mutisme des pierres tourbillonner.
Entends-tu pousser un ange de mon épaule gauche ?
J’entendais juste les cendres des roses se dissipant sur la fenêtre.
Alice Puiu
Tombés – les issues vers le ciel fermées
(quand le blanc final du jour s’écroule en nous
et que la lumière est une vieille ruine où, nus,
nous ignorons ce qu’est le danger de rêver
Dan Vîţă
Les femmes et les paroles
sont belles quand elles dorment,
quand elle se réveillent
elles sont impitoyablement vivantes…
Dorin Croitor
C’est un odeur de Dieu dans mon petit village,
Le sourire des vieux timides l’accompagne,
Eux, qui connurent autant d’épreuves au fil de l’âge,
Eux, qui savent que Dieu est né à la campagne.
Iustinian-George Paiuc