VIOLENCES BRÈVES
Disponible
Nombre de pages : 108
Dimensions : 135 mm x 170 mm
Poids : 100 gr
Prix : 12.00 €
Livre broché
EAN : 9791090424432
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 108
Dimensions : 135 mm x 170 mm
Poids : 100 gr
Prix : 12.00 €
Livre broché
EAN : 9791090424432
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : Gilles Ascaso
Editeur(s) : LUNATIQUE
Date de parution : 13 mai 2015
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Gilles Ascaso s’attache à déceler dans le moindre plissement de rideau
ou la floraison d’un jardin toute la pathétique poésie du monde – sans
oublier, cependant, que la littérature ne peut, sous peine de stérilité, se
priver de contenu humain.
L’intuitive franchise des mots – la rondeur d’un qualificatif, le mordant
d’un verbe – épouse la banalité de nos paysages intimes, de la cuisine au
cabinet de dentiste, de la chambre à coucher au supermarché ; sonde la
délicate mécanique des objets qui jonchent notre quotidien ; et suggère
l’appel du sourcier dont la baguette s’anime d’un rien, d’un sursaut, et
désigne la source, là, toute proche – ce qui confine à la magie, assurément.
Dans Violences brèves, nulle eau enfouie profond sous la terre, mais des
impressions, des sensations, des émotions, feutrées ou criantes, qui submergent
le lecteur jusqu’à l’engloutir tout entier dans une réalité qui n’a
plus rien de fictionnel.
Gilles Ascaso invite le lecteur à prêter une attention accrue à tout ce
qui l’entoure pour y déceler l’infime grain de sable qui pourrait tout faire
basculer.
Dans une époque de démesure, l’économie a une grâce infinie. Il suffit à
l’auteur de donner l’heure pour évoquer le désenchantement d’un désamour,
quand tant d’autres se seraient rués sur la facilité, sensationnelle
et emphatique. Car il a compris que le tintamarre brouillait les sens et
détournait l’attention des battements de coeur.
ou la floraison d’un jardin toute la pathétique poésie du monde – sans
oublier, cependant, que la littérature ne peut, sous peine de stérilité, se
priver de contenu humain.
L’intuitive franchise des mots – la rondeur d’un qualificatif, le mordant
d’un verbe – épouse la banalité de nos paysages intimes, de la cuisine au
cabinet de dentiste, de la chambre à coucher au supermarché ; sonde la
délicate mécanique des objets qui jonchent notre quotidien ; et suggère
l’appel du sourcier dont la baguette s’anime d’un rien, d’un sursaut, et
désigne la source, là, toute proche – ce qui confine à la magie, assurément.
Dans Violences brèves, nulle eau enfouie profond sous la terre, mais des
impressions, des sensations, des émotions, feutrées ou criantes, qui submergent
le lecteur jusqu’à l’engloutir tout entier dans une réalité qui n’a
plus rien de fictionnel.
Gilles Ascaso invite le lecteur à prêter une attention accrue à tout ce
qui l’entoure pour y déceler l’infime grain de sable qui pourrait tout faire
basculer.
Dans une époque de démesure, l’économie a une grâce infinie. Il suffit à
l’auteur de donner l’heure pour évoquer le désenchantement d’un désamour,
quand tant d’autres se seraient rués sur la facilité, sensationnelle
et emphatique. Car il a compris que le tintamarre brouillait les sens et
détournait l’attention des battements de coeur.