MONTMORILLON, MA VILLE TOME 2
Disponible
Nombre de pages : 62
Dimensions : 140 mm x 170 mm
Poids : 71 gr
Prix : 11.00 €
Livre broché
EAN : 9782368686294
Distributeur : STELLAMARIS
Nombre de pages : 62
Dimensions : 140 mm x 170 mm
Poids : 71 gr
Prix : 11.00 €
Livre broché
EAN : 9782368686294
Distributeur : STELLAMARIS
Auteur(s) : Jean Piet
Editeur(s) : STELLAMARIS
Date de parution : 10 février 2020
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Il en est des villes comme des berceaux, il faut les quitter un jour et s’extirper de la ouate de l’enfance pour se contenter de la médiocrité des paillasses de nos vies d’adultes mais rien, jamais rien ne nous empêchera de revenir sur nos terres, que ce soit en songe ou bien dans une réalité faite des ruelles de nos cités, où nos loisirs mèneront nos regards perdus dans le bleu de nos rivières.
Ma cité, Montmorillon, un nom qui sonne comme celui d’une genèse, comme si ma ville était un creuset où je ne sais quel alchimiste aurait imaginé ma vie et aurait ensuite signé son oeuvre de sa griffe de lilas.
Ma rivière, La Gartempe, une artère au sang bleu, une noble compagne de jeunesse que je revois de temps en temps pour évoquer les jours anciens, regorgeant de poissons et de promenades en barques.
À y regarder de plus près, Montmorillon, c’est moi, c’est mon sang, mon oxygène et je vous souhaite en lisant ces quelques vers d’apprendre à l’aimer, où tout du moins d’y retrouver votre propre cité et votre sainte jeunesse.
Jean Piet
Ma cité, Montmorillon, un nom qui sonne comme celui d’une genèse, comme si ma ville était un creuset où je ne sais quel alchimiste aurait imaginé ma vie et aurait ensuite signé son oeuvre de sa griffe de lilas.
Ma rivière, La Gartempe, une artère au sang bleu, une noble compagne de jeunesse que je revois de temps en temps pour évoquer les jours anciens, regorgeant de poissons et de promenades en barques.
À y regarder de plus près, Montmorillon, c’est moi, c’est mon sang, mon oxygène et je vous souhaite en lisant ces quelques vers d’apprendre à l’aimer, où tout du moins d’y retrouver votre propre cité et votre sainte jeunesse.
Jean Piet