ÇA IRA MIEUX DEMAIN
Disponible
Nombre de pages : 352
Dimensions : 110 mm x 180 mm
Prix : 10.00 €
Poche
EAN : 9782907572736
Distributeur : PLM DIFFUSION
Nombre de pages : 352
Dimensions : 110 mm x 180 mm
Prix : 10.00 €
Poche
EAN : 9782907572736
Distributeur : PLM DIFFUSION
Auteur(s) : jean failler
Editeur(s) : PALEMON
Date de parution : 1 novembre 2005
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Mathilde Tristani a mystérieusement disparu et sa mère Anastasie, femme d'affaires aussi influente que redoutable, a fait pression sur un ministre de ses amis pour que l'on retrouve sa fille « sans faire de vagues ».
Le commissaire Mervent, dont la seule crainte est de déplaire à sa hiérarchie, m'a confié le dossier non sans réticence, et avec des précautions oratoires qui m'ont passablement agacée. Ça démarre mal, me direz-vous. Oui ça démarre mal. Et ça ne s'améliore guère par la suite.
Il ne faut pas faire de publicité, il ne faut pas montrer de photos de la disparue, il ne faut pas voir son père... Il n'y a que des interdits posés par la mère Tristani. Comment enquêter dans ces conditions ? Où donc chercher cette gosse de riches ? C'est beau, le Cap Sizun, mais c'est vaste ! Et, quand au crépuscule la brume monte de la mer, noyant sous son manteau les falaises couvertes de bruyères et de landes, on y fait parfois d'étranges rencontres.
Cordialement vôtre, Mary Lester
Le commissaire Mervent, dont la seule crainte est de déplaire à sa hiérarchie, m'a confié le dossier non sans réticence, et avec des précautions oratoires qui m'ont passablement agacée. Ça démarre mal, me direz-vous. Oui ça démarre mal. Et ça ne s'améliore guère par la suite.
Il ne faut pas faire de publicité, il ne faut pas montrer de photos de la disparue, il ne faut pas voir son père... Il n'y a que des interdits posés par la mère Tristani. Comment enquêter dans ces conditions ? Où donc chercher cette gosse de riches ? C'est beau, le Cap Sizun, mais c'est vaste ! Et, quand au crépuscule la brume monte de la mer, noyant sous son manteau les falaises couvertes de bruyères et de landes, on y fait parfois d'étranges rencontres.
Cordialement vôtre, Mary Lester