JEHANNE
Disponible
Nombre de pages : 120
Dimensions : 135 mm x 170 mm
Poids : 100 gr
Prix : 12.00 €
Livre broché
EAN : 9791090424272
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 120
Dimensions : 135 mm x 170 mm
Poids : 100 gr
Prix : 12.00 €
Livre broché
EAN : 9791090424272
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : Violaine Bérot
Editeur(s) : LUNATIQUE
Date de parution : 3 février 2014
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Le roman s’ouvre sur une Jehanne recluse dans sa cellule, à quelques
heures de son supplice. Et c’est avec une désarmante franchise qu’elle livre
son histoire de jeune paysanne qui n’hésite pas à faire de faux serments,
pourvu qu’on la laisse librement caracoler, saluant au passage ses fidèles
compagnons d’armes, Xaintrailles, La Hire ; égratignant Charles vii ; et
clamant sans détour sa folle passion pour le Sire de Rais, commandant des
armées royales. Lucide, Jehanne s’exprime avec des mots simples, tantôt
durs, tantôt doux, mais jamais complaisants.
Fuyant un monde pour lequel elle n’était pas taillée, Jehanne « la pasnormale
», éprise de liberté, s’enferrera dans le blasphème pour se
constituer, à son coeur défendant, prisonnière d’une armure et d’un état
de grâce, éloignant à jamais ces hommes — cet homme, Gilles de Rais —
pour qui elle a bataillé avec la fougue de ses dix-neuf ans.
heures de son supplice. Et c’est avec une désarmante franchise qu’elle livre
son histoire de jeune paysanne qui n’hésite pas à faire de faux serments,
pourvu qu’on la laisse librement caracoler, saluant au passage ses fidèles
compagnons d’armes, Xaintrailles, La Hire ; égratignant Charles vii ; et
clamant sans détour sa folle passion pour le Sire de Rais, commandant des
armées royales. Lucide, Jehanne s’exprime avec des mots simples, tantôt
durs, tantôt doux, mais jamais complaisants.
Fuyant un monde pour lequel elle n’était pas taillée, Jehanne « la pasnormale
», éprise de liberté, s’enferrera dans le blasphème pour se
constituer, à son coeur défendant, prisonnière d’une armure et d’un état
de grâce, éloignant à jamais ces hommes — cet homme, Gilles de Rais —
pour qui elle a bataillé avec la fougue de ses dix-neuf ans.