POURQUOI DIEU NE DISPARAÎTRA PAS - Neurosciences et expérience religieuse
Disponible
Nombre de pages : 280
Dimensions : 140 mm x 215 mm
Poids : 362 gr
Prix : 18.00 €
Livre broché
EAN : 9782354322731
Distributeur : DILISCO
Nombre de pages : 280
Dimensions : 140 mm x 215 mm
Poids : 362 gr
Prix : 18.00 €
Livre broché
EAN : 9782354322731
Distributeur : DILISCO
Auteur(s) : Andrew Newberg – Eugene D'AQUILI
Editeur(s) : SULLY
Date de parution : 19 septembre 2023
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Pourquoi les êtres humains ont-t-ils besoin de se relier à quelque chose de plus grand qu’eux ? Pourquoi notre conscience nous conduit à nous engager dans une quête spirituelle ?
Dans cet ouvrage, les auteurs proposent une explication étayée par des études approfondies du fonctionnement cérébral : notre dimension religieuse est inscrite dans la biologie de notre cerveau.
Pionniers d’une nouvelle discipline – qu’ils nomment la neurothéologie - qui explore les relations complexes entre la spiritualité et le cerveau, les auteurs abordent nombre de questions sur l’expérience religieuse : Est-ce que les hommes sont contraints biologiquement de fabriquer des mythes ? Quelle est la relation entre l’extase religieuse et l’orgasme sexuel ? Qu’est-ce que les expériences proches de la mort nous apprennent sur la nature des phénomènes spirituels ? Comment le rituel crée un environnement neurologique particulier ? Est-ce que la religion est simplement un produit de la biologie ou, au contraire, est-ce que le cerveau humain est conçu pour percevoir la dimension divine ?
En faisant un pont entre le raisonnement scientifique et le mysticisme, cet ouvrage passionnant apporte un éclairage nouveau sur la nature de notre conscience et sur les fondements du phénomène religieux.
Andrew Newberg est professeur au département de radiologie de médecine nucléaire de l’Université de Pennsylvanie. Eugene d’Aquili était professeur au département de psychiatrie de cette même Université.
Pourquoi les êtres humains ont-t-ils besoin de se relier à quelque chose de plus grand qu’eux ? Pourquoi notre conscience nous conduit à nous engager dans une quête spirituelle ?
Dans cet ouvrage, les auteurs proposent une explication étayée par des études approfondies du fonctionnement cérébral : notre dimension religieuse est inscrite dans la biologie de notre cerveau.
Pionniers d’une nouvelle discipline – qu’ils nomment la neurothéologie - qui explore les relations complexes entre la spiritualité et le cerveau, les auteurs abordent nombre de questions sur l’expérience religieuse : Est-ce que les hommes sont contraints biologiquement de fabriquer des mythes ? Quelle est la relation entre l’extase religieuse et l’orgasme sexuel ? Qu’est-ce que les expériences proches de la mort nous apprennent sur la nature des phénomènes spirituels ? Comment le rituel crée un environnement neurologique particulier ? Est-ce que la religion est simplement un produit de la biologie ou, au contraire, est-ce que le cerveau humain est conçu pour percevoir la dimension divine ?
En faisant un pont entre le raisonnement scientifique et le mysticisme, cet ouvrage passionnant apporte un éclairage nouveau sur la nature de notre conscience et sur les fondements du phénomène religieux.
Andrew Newberg est professeur au département de radiologie de médecine nucléaire de l’Université de Pennsylvanie. Eugene d’Aquili était professeur au département de psychiatrie de cette même Université.
Dans cet ouvrage, les auteurs proposent une explication étayée par des études approfondies du fonctionnement cérébral : notre dimension religieuse est inscrite dans la biologie de notre cerveau.
Pionniers d’une nouvelle discipline – qu’ils nomment la neurothéologie - qui explore les relations complexes entre la spiritualité et le cerveau, les auteurs abordent nombre de questions sur l’expérience religieuse : Est-ce que les hommes sont contraints biologiquement de fabriquer des mythes ? Quelle est la relation entre l’extase religieuse et l’orgasme sexuel ? Qu’est-ce que les expériences proches de la mort nous apprennent sur la nature des phénomènes spirituels ? Comment le rituel crée un environnement neurologique particulier ? Est-ce que la religion est simplement un produit de la biologie ou, au contraire, est-ce que le cerveau humain est conçu pour percevoir la dimension divine ?
En faisant un pont entre le raisonnement scientifique et le mysticisme, cet ouvrage passionnant apporte un éclairage nouveau sur la nature de notre conscience et sur les fondements du phénomène religieux.
Andrew Newberg est professeur au département de radiologie de médecine nucléaire de l’Université de Pennsylvanie. Eugene d’Aquili était professeur au département de psychiatrie de cette même Université.
Pourquoi les êtres humains ont-t-ils besoin de se relier à quelque chose de plus grand qu’eux ? Pourquoi notre conscience nous conduit à nous engager dans une quête spirituelle ?
Dans cet ouvrage, les auteurs proposent une explication étayée par des études approfondies du fonctionnement cérébral : notre dimension religieuse est inscrite dans la biologie de notre cerveau.
Pionniers d’une nouvelle discipline – qu’ils nomment la neurothéologie - qui explore les relations complexes entre la spiritualité et le cerveau, les auteurs abordent nombre de questions sur l’expérience religieuse : Est-ce que les hommes sont contraints biologiquement de fabriquer des mythes ? Quelle est la relation entre l’extase religieuse et l’orgasme sexuel ? Qu’est-ce que les expériences proches de la mort nous apprennent sur la nature des phénomènes spirituels ? Comment le rituel crée un environnement neurologique particulier ? Est-ce que la religion est simplement un produit de la biologie ou, au contraire, est-ce que le cerveau humain est conçu pour percevoir la dimension divine ?
En faisant un pont entre le raisonnement scientifique et le mysticisme, cet ouvrage passionnant apporte un éclairage nouveau sur la nature de notre conscience et sur les fondements du phénomène religieux.
Andrew Newberg est professeur au département de radiologie de médecine nucléaire de l’Université de Pennsylvanie. Eugene d’Aquili était professeur au département de psychiatrie de cette même Université.