SOMEWHERE
Arrêt définitif de commercialisation
Nombre de pages : 100
Dimensions : 190 mm x 210 mm
Poids : 700 gr
Prix : 35.00 €
Livre relié
EAN : 9782365100601
Distributeur : ART AND PAPER
Nombre de pages : 100
Dimensions : 190 mm x 210 mm
Poids : 700 gr
Prix : 35.00 €
Livre relié
EAN : 9782365100601
Distributeur : ART AND PAPER
Auteur(s) : STEPHANE MAHE/ARNAUD
Editeur(s) : DE JUILLET
Date de parution : 1 septembre 2018
Genre(s) : Arts et beaux livres
Langue(s) du texte : Français
« C’est un lieu où le temps s’estompe. Un lieu où les contours physiques de la matière s’effacent. Y a-t-il une place pour la réalité dans ces images de Stéphane Mahé ? Non. Somewhere est un remarquable travail, presque spirituel, qui ouvre une fenêtre sur un ailleurs impalpable. Un endroit inacessible dont la photographie se fait l’écho, quelque part derrière la rétine de l’artiste, là où tout se joue. La perception d’abord, puis l’émotion, l’intention et enfin le geste. Stéphane Mahé veut « sentir la vie » qui l’entoure pour en « capter l’essence ». Somewhere est une séquence d’images qui s’articulent comme une respiration fébrile. Le talent du photographe est d’avoir su amplifier l’intensité de ces moments d’existence qu’il glane modestement. Pour lui, la photographie est une épiphanie de l’être. Il ne se contente pas de montrer, il inspire. »
Marie Moglia
Somewhere est une errance irréelle, hors de l’espace et du temps. Stéphane Mahé photographie comme il aime se perdre, avec l’avidité de l’abandon. Sa série de 37 photographies nous emporte dans des dédales de ruelles qui débouchent sur des rivages en cul-de-sac. La matière photographique y est triturée, malaxée, et la granulation devient langage. L’ouvrage comporte un texte original d’Arnaud Le Gouëfflec, comme une mise en abyme prolongeant notre égarement.
Marie Moglia
Somewhere est une errance irréelle, hors de l’espace et du temps. Stéphane Mahé photographie comme il aime se perdre, avec l’avidité de l’abandon. Sa série de 37 photographies nous emporte dans des dédales de ruelles qui débouchent sur des rivages en cul-de-sac. La matière photographique y est triturée, malaxée, et la granulation devient langage. L’ouvrage comporte un texte original d’Arnaud Le Gouëfflec, comme une mise en abyme prolongeant notre égarement.