DIOGÈNE ET LA LIBERTÉ DANS LA VIE SIMPLE
Disponible
Nombre de pages : 120
Dimensions : 130 mm x 180 mm
Poids : 128 gr
Prix : 12.00 €
Livre broché
EAN : 9782369355939
Distributeur : HARMONIA MUNDI LIVRE
Nombre de pages : 120
Dimensions : 130 mm x 180 mm
Poids : 128 gr
Prix : 12.00 €
Livre broché
EAN : 9782369355939
Distributeur : HARMONIA MUNDI LIVRE
Auteur(s) : Etienne HELMER – DIOGENE – François JARRIGE – Hélène TORDJMAN
Editeur(s) : CLANDESTIN
Collection : PRECURSEUR-SES DE LA DECROISSANCE
Date de parution : 30 août 2024
Genre(s) : Sciences humaines et sociales, lettres
Langue(s) du texte : Français
« Pourquoi vis-tu donc si tu ne t’inquiètes pas de bien vivre ? »
De Diogène le cynique, on connaît le goût pour la provocation et l’existence frugale. Mais Diogène (413-323 avant Jésus-Christ environ) est aussi un penseur politique nous invitant à nous interroger sur les conditions de la liberté et de la vie bonne au sein de nos sociétés.
Il dévoile ainsi la violence, le mépris de la dignité humaine et le refus de l’égalité propres aux institutions, aux modes de vie et aux économies tournées vers la croissance sans mesure.
Cette philosophie vécue, explique Étienne Helmer, loin des constructions théoriques complexes, reste au plus près des réalités quotidiennes. En proposant l’idéal d’une vie simple soustraite aux illusions d’un désir prédateur, elle offre aux individus et aux sociétés un contre-pouvoir libérateur.
De Diogène le cynique, on connaît le goût pour la provocation et l’existence frugale. Mais Diogène (413-323 avant Jésus-Christ environ) est aussi un penseur politique nous invitant à nous interroger sur les conditions de la liberté et de la vie bonne au sein de nos sociétés.
Il dévoile ainsi la violence, le mépris de la dignité humaine et le refus de l’égalité propres aux institutions, aux modes de vie et aux économies tournées vers la croissance sans mesure.
Cette philosophie vécue, explique Étienne Helmer, loin des constructions théoriques complexes, reste au plus près des réalités quotidiennes. En proposant l’idéal d’une vie simple soustraite aux illusions d’un désir prédateur, elle offre aux individus et aux sociétés un contre-pouvoir libérateur.
