EKATÉRINA IVANOVNA, SUIVI DE REQUIEM
Disponible
Nombre de pages : 206
Dimensions : 130 mm x 210 mm
Poids : 300 gr
Prix : 20.00 €
Livre broché
EAN : 9782490982110
Distributeur : EDITIONS MESURES
Nombre de pages : 206
Dimensions : 130 mm x 210 mm
Poids : 300 gr
Prix : 20.00 €
Livre broché
EAN : 9782490982110
Distributeur : EDITIONS MESURES
Auteur(s) : ANDRÉ (traduction) MARKOWICZ
Editeur(s) : MESURES
Date de parution : 5 septembre 2020
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Les Editions Mesures poursuivent leur publication du théâtre de Léonid Andréïev, après La Vie de l’Homme. Nous publions deux pièces majeures, jouées par Julien Gosselin à travers la France pendant la saison théâtrale 2021-2022.
L’une, Ekatérina Ivanovna (dont ma traduction, publiée chez Corti, était indisponible depuis longtemps) est une pièce dite-réaliste, psychologique : jouée en décembre 1912 au Théâtre d’Art de Moscou, c’est le lent naufrage d’une femme dans une société qui ne peut que sombrer, une pièce d’une cruauté et d’une violence sans concession.
Requiem, joué à la fin de l’année 1916, est la dernière pièce d’Andréïev, et c’est, de fait, un requiem son théâtre tout entier : la représentation fantôme d’une pièce fantôme, donnée par des acteurs qui semblent être des ombres à un public de figurines peintes. Une pièce étrange et angoissante, comme le dernier cri d’un monde qui s’engloutit.
L’une, Ekatérina Ivanovna (dont ma traduction, publiée chez Corti, était indisponible depuis longtemps) est une pièce dite-réaliste, psychologique : jouée en décembre 1912 au Théâtre d’Art de Moscou, c’est le lent naufrage d’une femme dans une société qui ne peut que sombrer, une pièce d’une cruauté et d’une violence sans concession.
Requiem, joué à la fin de l’année 1916, est la dernière pièce d’Andréïev, et c’est, de fait, un requiem son théâtre tout entier : la représentation fantôme d’une pièce fantôme, donnée par des acteurs qui semblent être des ombres à un public de figurines peintes. Une pièce étrange et angoissante, comme le dernier cri d’un monde qui s’engloutit.