LA PRIÈRE DE MON PÈRE
Disponible
Dimensions : 160 mm x 160 mm
Poids : 89 gr
Prix : 15.00 €
Format non précisé
EAN : 9782917751879
Distributeur : ISABELLE SAUVAGE
Dimensions : 160 mm x 160 mm
Poids : 89 gr
Prix : 15.00 €
Format non précisé
EAN : 9782917751879
Distributeur : ISABELLE SAUVAGE
Auteur(s) : Awoonor, Kofi
Editeur(s) : ISABELLE SAUVAG
Collection : corp/us
Date de parution : 1 mars 2017
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Coffret comprenant 1 affiche du poème La prière de mon père (titre original : My Father's Prayer, traduit par Sika Fakambi), format 480 x 640 cm, impression offset en tons directs (graphisme affiche : Florence Boudet), 1 livret bilingue de 8 pages comprenant la version originale et la version française + des éléments bio-bibliographiques concernant l'auteur, 1 CD de lectures & création sonore bilingue (création sonore et arrangements : Samuel Lietmann / voix : Tristan Poullaouec, Kofi Awoonor, Yves Arcaix, Sika Fakambi).
« Automne 2015. Traduire My Father’s Prayer pour le lire au festival Paroles Indigo à Arles, parmi d’autres poèmes choisis dans l’œuvre de l’une des grandes figures littéraires d’Afrique: Kofi Awoonor. De lui, jusque-là, j’avais traduit trois fragments : une phrase de Cette terre, mon frère, mise en exergue du premier roman de Nii Parkes ; son court poème The Journey Beyond ; et ces paroles qu’il a eues à Nairobi, la veille de sa mort : “Un poète ancien de ma tradition a dit : ‘J’ai quelque chose à dire. Je le dirai avant que la mort vienne. Et si je ne le dis pas, que nul ne le dise à ma place. Je serai celui qui le dira.’” » (Sika Fakambi)
« Automne 2015. Traduire My Father’s Prayer pour le lire au festival Paroles Indigo à Arles, parmi d’autres poèmes choisis dans l’œuvre de l’une des grandes figures littéraires d’Afrique: Kofi Awoonor. De lui, jusque-là, j’avais traduit trois fragments : une phrase de Cette terre, mon frère, mise en exergue du premier roman de Nii Parkes ; son court poème The Journey Beyond ; et ces paroles qu’il a eues à Nairobi, la veille de sa mort : “Un poète ancien de ma tradition a dit : ‘J’ai quelque chose à dire. Je le dirai avant que la mort vienne. Et si je ne le dis pas, que nul ne le dise à ma place. Je serai celui qui le dira.’” » (Sika Fakambi)