COMÉDIE DU SUICIDE
Disponible
Nombre de pages : 128
Dimensions : 115 mm x 175 mm
Poids : 110 gr
Prix : 15.00 €
Livre broché
EAN : 9791097356057
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 128
Dimensions : 115 mm x 175 mm
Poids : 110 gr
Prix : 15.00 €
Livre broché
EAN : 9791097356057
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : Jean-Claude Leroy
Editeur(s) : LUNATIQUE
Date de parution : 1 janvier 2017
Genre(s) : Littérature générale
Langue(s) du texte : Français
Composé de trois récits indépendants, Comédie du suicide explore trois
regards sur la mort : le deuil amoureux, le deuil égoïste et la chute conjointe
de deux êtres étouffés par la vie.
Dans « Ce pont qui me traverse », récit onirique qui n’est pas sans rappeler
ceux de Bosco, le narrateur, qui vient de perdre sa compagne, morte
subitement, est submergé par le désespoir et refuse sa disparition. Cette
attitude débouche sur une autre réalité, comme si l’amour au-delà de
la mort déguisait les apparences de la vie jusqu’à en modifier les règles
connues.
Dans « Comédie du suicide », qui donne son titre à l’ensemble, une
tonalité plus cynique succède à la voix romantique empruntée dans le premier
récit. Là, le chantage au suicide, propre à ceux qui tiennent discours,
s’oppose à l’autodestruction muette, comme la frivolité et l’égoïsme masculin
s’opposent à l’implication amoureuse, vitale, des femmes.
Au final, « L’Enfer du décor » présente la mort rendue inévitable par
l’enfermement et la passivité. Un couple s’enferme peu à peu dans une
existence subie et partagée où le délabrement grotesque qui s’établit faute
de lucidité mènera jusqu’à un dénouement tragique. Tableau final aux
allures de sinistre caricature…
Dans ce livre, Jean-Claude Leroy prolonge la démarche inaugurée
dans Entrée en matière, notamment dans l’emploi d’un je narrateur, mais
sans en reproduire tous les caractères. Quoiqu’indépendants, les trois
récits forment un triptyque où les relations amoureuses se font écho à
travers des situations qu’illustre bien cette phrase de l’auteur : « Quand
les femmes cessent d’avoir peur elles sont capables de tout, et elles nous font
peur. »
L’auteur a bénéficié pour la rédaction de cet ouvrage du soutien du CNL.
regards sur la mort : le deuil amoureux, le deuil égoïste et la chute conjointe
de deux êtres étouffés par la vie.
Dans « Ce pont qui me traverse », récit onirique qui n’est pas sans rappeler
ceux de Bosco, le narrateur, qui vient de perdre sa compagne, morte
subitement, est submergé par le désespoir et refuse sa disparition. Cette
attitude débouche sur une autre réalité, comme si l’amour au-delà de
la mort déguisait les apparences de la vie jusqu’à en modifier les règles
connues.
Dans « Comédie du suicide », qui donne son titre à l’ensemble, une
tonalité plus cynique succède à la voix romantique empruntée dans le premier
récit. Là, le chantage au suicide, propre à ceux qui tiennent discours,
s’oppose à l’autodestruction muette, comme la frivolité et l’égoïsme masculin
s’opposent à l’implication amoureuse, vitale, des femmes.
Au final, « L’Enfer du décor » présente la mort rendue inévitable par
l’enfermement et la passivité. Un couple s’enferme peu à peu dans une
existence subie et partagée où le délabrement grotesque qui s’établit faute
de lucidité mènera jusqu’à un dénouement tragique. Tableau final aux
allures de sinistre caricature…
Dans ce livre, Jean-Claude Leroy prolonge la démarche inaugurée
dans Entrée en matière, notamment dans l’emploi d’un je narrateur, mais
sans en reproduire tous les caractères. Quoiqu’indépendants, les trois
récits forment un triptyque où les relations amoureuses se font écho à
travers des situations qu’illustre bien cette phrase de l’auteur : « Quand
les femmes cessent d’avoir peur elles sont capables de tout, et elles nous font
peur. »
L’auteur a bénéficié pour la rédaction de cet ouvrage du soutien du CNL.